vendredi 9 novembre 2007

Hello, c’tait Céline Dion … J’te dis, j’adore la fourrure, le sang et l’argent














On ne change pas Céline Dion.

Rien à faire, elle ne percute pas. Qu'elle crie au lieu de chanter, ça peut plaire.

Que ce soit mièvre, sirupeux, y'en a qui adore.
Source d'inspiration, elle permet au moins à des gourdasses de la Star'Ac de braire en reprenant ses plus grands tubes.

Elle a des goûts de chiottes il paraît. C'est boursouflé, ça pue l'inculte arrivée au sommet.

Cette cruche persiste à porter de la fourrure. Hokey, comme diraient les canadiens, ça prouve qu'il n'y a rien à en tirer.Même aphone, sa bêtise ne disparaîtra pas.

Pour poursuivre son idéal "amour, gloire et beauté", Céline Dion ne recule devant rien.

Son dernier album, Taking chances, qui sort demain en France, s'appuie sur les atours sanguinaires de la corrida.

Cette andouille a choisi le matador Matías Tejela pour illustrer son nouvel opus et elle envisage de faire construire une réplique des arènes de Mexico à Las Vegas.

Pendant ses concerts, des images du tueur espagnol seront projetées sur écran géant. Il vient de touner un clip vidéo à Los Angeles avec cette idiote. On l'y verra (probablement en début d'année prochaine) en habits de lumières (mais aussi torse nu), prenant des poses, cape à la main et faisant comme si...

La cruauté à son comble au service d'un album de daube réalisé par une chanteuse qui a le QI d'une palourde sous perfusion de neurones et une sensibilité applatie.

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